Résultats hors-classe des professeurs d’EPS 2022

Les résultats de la promotion à la hors classe viennent de paraitre et vous retrouverez l’arrêté collectif publié par le Rectorat de Rouen sur ce lien.
Il est extrêmement important d’être vigilant.e à votre situation. En effet, nous n’avons plus la possibilité de contrôler l’absence d’erreurs en Commission Administrative Paritaire, dès lors il est nécessaire d’avoir une attention accrue et de vérifier vos données sur I-prof. Dans certaines académies, nous avons déjà détecté des erreurs dans le départage des promouvables pour des opérations de promotion !

Avant de tout lire, notez qu’il nous parait nécessaire que vous puissiez :
  • Vérifier votre situation dans I-prof : notamment votre appréciation finale (excellent, très satisfaisant, satisfaisant, à consolider), votre ancienneté dans le corps, votre date de dernière promotion, les éventuels avis de vos évaluateurs, évaluatrices,
  • Demander à votre rectorat via I-prof quel est votre barème, quels sont les critères de départage et leur ordre,
  • Dès publication des résultats, il est nécessaire de demander au rectorat quelle est la barre (le barème) du dernier, de la dernière promu.e.
     
Depuis 2017 et la mise en place du Protocole Parcours, Carrières et Rémunérations, l’accès à la hors classe a été revu. Le barème n’est pas celui que l’on voulait, nous avions d’autres propositions, mais il est néanmoins un progrès important par rapport au précédent. Dans l’état actuel du barème, tout.e enseignant.e ayant trois ans d’ancienneté dans le 11ème échelon sera promu.e, quel que soit l’appréciation reçue et ne pourra être dépassé par un.e enseignant.e ayant deux ans d’ancienneté dans le 10ème échelon.

La concurrence entre enseignant.e.s dans l’accès à la hors-classe a été très fortement réduite (la promouvabilité à la hors classe se fait à partir de 2 ans d’ancienneté dans le 9ème échelon). Le ratio d’accès à la hors-classe a été fixé à 18 % pour les années 2021 et 2022.

Ce ratio et le barème permettent à toutes et tous d’accéder à la hors classe, mais surtout d’atteindre les derniers indices de la hors classe. C’est un acquis majeur qu’il faut continuer de revendiquer et de défendre.

Le SNEP-FSU continue de revendiquer une refonte de la grille indiciaire de la classe normale intégrant les indices de la hors-classe et de la classe exceptionnelle permettant à toutes et tous d’atteindre le nouvel indice 1067 mis en place avec PPCR.

Pour votre situation personnelle, il vous faut vérifier votre barème, cliquez ici (le barème est en bas de page).

Les commissaires paritaires académiques sont disponibles pour répondre à vos questions, vous informer, vous aider dans vos démarches. Pour toute question : corpo-rouen@snepfsu.net

Gymnasiades 2022 : quel bilan ?

Vous n’avez pas eu vent de la tenue des Gymnasiades ? L’annonce de l’événement a été pour le moins confidentielle. Espérons qu’il n’en sera pas autant de son bilan très attendu par le SNEP-FSU.

Ces jeux scolaires d’ampleur internationale se sont déroulés en Normandie du 14 au 22 mai pour environ 3500 lycéen.nes venu.es de plus de 70 pays s’affronter dans 19 disciplines sportives.

            Ce qui devait être une célébration du sport scolaire s’est mué au fil des mois en une compétition dont les contours imprécis inquiétaient de façon croissante.

Rarement on aura vu un projet de cette grandeur si mal préparé alors même qu’il a été annoncé trois années auparavant.

Pourtant le SNEP-FSU a alerté tout au long du processus sur le manque d’anticipation nécessaire pour réussir un tel évènement, ainsi que sur l’implication insuffisante des élèves et des enseignants pour permettre une réelle dynamique autour de ces gymnasiades. Nos alertes sont restées sans réponse de la part de notre Rectrice et de la direction nationale du sport scolaire. Les cadres UNSS normands ont sans cesse été bridés et retardés dans la mise en place de l’organisation.

            L’idée n’est pas de dresser ici un noir tableau (un peu quand même) mais force est de constater qu’entre les projets éducatifs et culturels annoncés et non réalisés, le saupoudrage de spectateurs par-ci par-là, les couacs en série sur les différents sites et un impact écologique qu’il conviendra de chiffrer, le bilan sera bien différent de ce qui avait été annoncé. Le budget prévu lui aussi sera bien plus lourd. D’ailleurs, les partenaires locaux qui avaient apporté leur soutien au projet se questionnent sur le maintien de la totalité de leur subvention au regard de cette esquisse de bilan. La question est : qui va payer la facture ? Les Associations Sportives qui ont si peu été sollicitées ? En effet, il a fallu batailler pour que les professeurs d’EPS/animateurs d’AS soient présents (seulement 250) mais encore plus pour des jeunes officiels le soient malgré leur investissement dans les AS au quotidien.

Certains choix opérés n’ont pas été à la hauteur de l’événement. Notamment le recours massif à   des sociétés privées et le manque de bénévole qui a été ressenti sur plusieurs sites.

            Puisqu’il s’agit de jeux pour les jeunes, parlons des jeunes.

Le scandale des jeunes reporters fera date. En effet, ces collégien.nes et lycéen.nes préparé.es par leurs enseignant.es d’EPS depuis plusieurs années à maîtriser les outils de communication et diffusion d’images en couvrant plusieurs championnats de France en vue des Gymnasiades ont été, d’une certaine façon, contraints de se retirer à cause du gouffre entre les intentions éducatives prônées et la réalité de ce qui leur a été demandé. En quelques mots, devenir des jeunes influenceurs.

            Les jeunes juges ont quant à eux été remerciés de façon bien particulière. Rien ne leur a été proposé par l’ISF ou l’UNSS lors de la journée culturelle du mercredi. Pas de transport prévu pour le Mémorial de Caen, les plages du débarquement ou le Mont Saint Michel pour ces jeunes normand.es qui ont officié chaque jour de l’événement. Quelques jeunes organisateurs ont dormi sous tente sans matelas.

            Pour finir, tous les soirs, quel que soit le site de leur compétition, les jeunes sportifs étaient transportés en car jusqu’au CID de Deauville pour dîner puis ils étaient de nouveaux transportés jusqu’à leur camping à la fin de leur repas. En plus du coût des navettes et de l’impact écologique on ne peut occulter l’impact sur la forme des athlètes.

            La multitude des couacs et le dépassement du budget doivent être étudiés. Des solutions ou alternatives doivent être trouvées ne serait-ce que pour nous rassurer à deux ans des Jeux Olympiques à Paris.

           

Réunions de BEF encore annulées ! Inadmissible pour le SNEP-FSU  qui propose une visio débat à nos IA-IPRS !

Pendant la période covid-19, les réunions de BEF ont été annulées pour des difficultés d’organisation. Dès juin 2021 Le SNEP-FSU avait demandé à nos IA-IPRS la reprise de ces réunions en rappelant leur importance notamment pour pouvoir discuter collectivement :

–              De la mise en place de la réforme du lycée GT et PRO en EPS avec les nouvelles AFL et les modifications majeures de notations pour le baccalauréat.

–              Du bilan et de la mise en place des formations sur site pour l’année 2022-2023.

Après avoir reçu une confirmation orale en juin 2021, puis en décembre 2021, que ces réunions de BEF auraient bien lieu cette année, nous venons finalement d’apprendre qu’elles étaient à nouveau annulées. Les IA-IPRS jugent que l’actualité ne nécessite pas de réunir la profession.

Le SNEP-FSU dénonce cette décision sur le fond et sur la forme. Sur la forme, le SNEP-FSU a fait confiance aux IA-IPRS EPS  qui n’ont finalement pas tenu leur engagement.

Sur le fond, les enseignants n’ont plus été réunis depuis 2019 pour discuter de l’actualité, de leur formation continue. Il est temps de reprendre ces réunions qui avaient lieu tous les ans et qui participaient à la création d’une dynamique dans les BEF, les établissements et permettaient aussi aux collègues de se connaitre tout simplement.

Juger que la réforme du baccalauréat n’est pas un sujet qui mérite de rassembler les collègues pour discuter du bilan avec eux est scandaleux. Cette réforme n’est pas un détail, c’est elle qui acte un bac local avec des référentiels différents dans chaque lycée, qui limite la part de la motricité à 12 points et qui enferme les enseignants dans des grilles d’évaluation impossible à tenir.

Le SNEP se veut force de proposition pour créer des espaces d’échange avec notre institution. Nous proposons donc à nos IA-IPRS une table ronde en visio avec l’ensemble des collègues qui le souhaite pour que les échanges nécessaires entre l’institution et la profession puissent se tenir.

Nous nous engageons bien sûr à ce que le format permette des échanges respectueux même s’ils peuvent être contradictoires.

Nous attendons la réponse de nos IA-IPRS  et tiendrons informée la profession.

 

Enquête : l’EPS plébiscitée par les élèves et les parents !

Le SNEP-FSU salue l’engagement des collègues qui ont mis en commun les résultats de leur enquête d’établissement.
Vous avez été nombreux à nous dire que les résultats seront utiles dans l’équipe pour discuter, faire évoluer les représentations des élèves, le projet EPS… Le dépouillement de l’enquête est exigeant. Il faut approximativement 1 heure pour traiter 100 questionnaires, ce sont donc environ 17h  de travail (bénévole et militant) qui ont été nécessaires dans l’académie et 500h au niveau national. Bravo à tous et toutes !

Cette enquête permettra de faciliter la promotion de notre discipline. En effet, le soutien des usagers du service public est un atout considérable pour revendiquer le « plus et mieux d’EPS ». Nous pouvons être fier·es de notre métier et de notre profession qui fait de notre discipline une véritable richesse du système éducatif, saluée par les premiers intéressés et leurs parents.

Vous trouverez sur ce lien vers les résultats détaillés de l’académie de Rouen (1701 réponses) :

Sur le périmètre de Rouen :

  • 51,7% des élèves aimeraient avoir plus d’EPS dans la semaine, 35,1% n’en veulent pas plus et 13,2% ne savent pas.
  • Pour 44% des élèves, l’EPS est la discipline scolaire qu’ils aiment le plus, 35 % sont indifférents et pour 10,6% des élèves c’est la discipline la moins aimée.

Il est possible pour chaque établissement d’avoir le détail des résultats par établissements en contactant le SNEP Rouen au s3-rouen@snepfsu.net

Vous trouverez sur ce lien le détail des résultats de l’enquête nationale

MUTATION INTRA 2022 (vérification des barèmes)

Mutation intra 2022 : vérification des barèmes

Si tu as fait une demande de mutation Intra-académique, et que tu as confirmé ce souhait, tu dois impérativement consulter le barème retenu par l’administration, sur le serveur I-PROF (SIAM) entre vendredi 13 mai et le mardi 31 mai. Après cette date, il sera trop tard.

Il est primordial de vérifier que l’administration n’a commis aucune erreur et de nous alerter immédiatement en cas de problème afin que nous puissions intervenir pour la faire corriger. 

Comment procéder ?

  • Consulte dès maintenant ton barème sur SIAM/I-PROF
    Fais une copie d’écran du barème retenu (une photo suffit) ; 
    Transmets cette copie écran à corpo-rouen@snepfsu.net
    Si tu penses qu’il y a une erreur, signale-la auprès de la DPE au Rectorat, AVANT le 29 MAI, via la fiche navette (disponible ici pour Rouen), en nous mettant en copie
  • Pense à nous communiquer tous les éléments de réponse fournis par l’administration.

Il te faudra ensuite attendre le jeudi 16 juin pour connaître le résultat de ta demande de mutation

Les militantes et militants du SNEP-FSU qui t’accompagnent se mobilisent activement pour des créations de postes à la hauteur des besoins et un mouvement transparent.

Rentrée 2022 : 27 enseignants d’EPS en moins, vers une pénurie sur ROUEN  !

Si la crise du recrutement dont parle actuellement les médias ne concerne pas le CAPEPS, dans la mesure où il y a plus de candidats que de postes aux concours, le nombre de postes offerts aux concours depuis plusieurs années, est nettement insuffisant pour répondre aux besoins.

 

Nous le constatons statistiquement avec un vivier de TZR qui diminue chaque année, et même des postes qui ne sont pas pourvus après la phase de mutation intra.

 

Cette diminution du nombre d’enseignants d’EPS sur notre territoire normand a de lourdes conséquences avec notamment une dégradation du service public qui ne peut offrir la totalité  du nombre d’heures d’EPS aux élèves.

Cette diminution a également des répercussions sur les conditions de travail des enseignants à qui l’administration demande toujours plus, notamment avec les HSA, avec des classes surchargées… et indirectement sur les opérations de mutations : la mobilité de beaucoup d’agents est alors empêchée, rendant l’équilibre vie professionnelle-vie personnelle parfois très instable. Ces situations de plus en plus nombreuses, et qui durent de plus en plus longtemps amènent parfois les collègues à demander leur démission ou une rupture conventionnelle, à planifier leur projet de reconversion…

 

Cette année, la situation s’annonce très alarmante. Nous avons, en effet, recensé 47 postes vacants, alors que nous accueillons seulement 20 collègues venants du mouvement inter-académique. Il y aura donc 27 enseignants d’EPS à la rentrée 2022 sur le périmètre de Rouen.

Cela voudra bien sûr dire de nombreux postes de TZR en moins qui pourront se stabiliser sur un poste fixe et autant de difficultés en plus pour les remplacements qui sont déjà problématiques.

Mais vu la perte massive d’enseignants cette année, il est fort possible qu’il y ait des postes fixes non pourvus dans certains établissements.

Certains de ces postes pourront servir de supports à temps plein pour l’année de stage des lauréats du nouveau CAPEPS. Nous n’avons pour l’instant aucune certitude puisque le rectorat de Rouen n’a donné aucune information sur le nombre de postes  « gelés », pour des stagiaires à temps plein ni sur leur implantation.

 

Il est par contre sûr que c’est une importante dégradation des conditions d’enseignement de l’EPS sur le territoire normand qui se prépare. Alors que J.M. Blanquer, qui s’apprête à quitter son ministère, annonce que l’éducation nationale lui manquera, il est sûr que l’inverse n’est pas vrai.

Un changement total de politique éducative est maintenant urgent avec une embauche massive d’enseignants couplée avec une revalorisation importante ! Le SNEP appelle à voter massivement aux élections législatives pour des candidats porteurs de ces valeurs progressistes pour l’école.

 

 

 

Audience Rectorat Sections sportives : des réponses qui sont loin du compte !

Le SNEP-FSU a été reçu le 8 avril à Caen par les responsables de l’académie normande (Secrétaire général, secrétaire général au budget, responsable de division des moyens, IA-IPRs).

Nous avons d’abord rappelé notre fort mécontentement de ne pas être reçu directement par la rectrice, ce qui n’était pas un signe de reconnaissance de notre discipline et des collègues que le SNEP-FSU représente. Il nous été répondu qu’elle avait été retenue par un agenda chargé notamment pour la mise en place de l’accueil des réfugiés ukrainiens.

Nous avons rappelé l’écart insupportable entre les annonces et les actes. Alors que notre ministre aligne les annonces sur l’importance de la pratique sportive, qu’il déclare vouloir faire de la France une nation plus sportive, alors que l’académie normande va accueillir les gymnasiades en mai 2022, la rectrice de Normandie a décidé de façon unilatérale de supprimer l’ensemble des moyens fléchés pour les sections sportives normandes. Cette mesure est totalement inadmissible dans un contexte où la crise sanitaire a largement fait diminuer la pratique sportive des jeunes et où tout devrait être mise en place pour la favoriser.

 

Nous avons fait une proposition raisonnable de flécher 3h de moyens pour chaque section sportives de l’académie. Pour les 139 sections sportives du périmètre de Caen et de Rouen, cela représenterait 417 heures soit 0.12% du volume d’heures pour le second degré dans l’académie. Cette proposition réaliste permettrait de ne plus mettre en concurrence les disciplines, d’éviter le chantage au HSA qui oblige les enseignants à travailler dans des conditions de plus en plus dégradées avec pour certains un surmenage amenant au bur-out.

Monsieur Diaz, le secrétaire général  a rappelé que les moyens n’étaient plus fléchés mais qu’ils ne disparaissaient pas pour autant et qu’il serait attentif à chaque situation particulière où un blocage serait constaté avec une section qui fermerait sans raisons valables. M. Kogut a rappelé que beaucoup de sections sportives du périmètre de Rouen avaient pu perdurer sans moyens fléchés depuis de nombreuses années…

Ces arguments montrent la méconnaissance du fonctionnement dans les établissements. Les collègues en ont assez de devoir chaque année mendier quelques heures pour le maintien effectif de leur section. A chaque fois c’est leur investissement qui est remis en cause. Le rectorat doit cesser la langue de bois et prouver par des actes et un engagement fort en terme de moyens qu’il veut un vrai développement des sections sportives

Ces propositions du rectorat d’accompagnement de la disparition des heures fléchées avec une « écoute attentive des points de tension » n’est pas admissible pour le SNEP-FSU.

Nous avons réédité notre demande de fléchage systématique à chaque fois qu’une section a été validée par l’administration. L’absence de la rectrice n’a pas permis de trancher cette question pendant l’audience. Nous attendons actuellement la réponse et nous vous tiendrons informés dès que nous l’aurons

MUTATION INTRA 2022

Ouverture du serveur (SIAM via I-Prof) prévu du 21 Mars 2022 à 12H au 6 Avril 2022 à 12h

 

Malgré la disparition des commissions paritaires chargées de vérifier les vœux et barèmes des candidats aux mutations ainsi que les affectations, les représentants du SNEP-FSU restent, néanmoins, mobilisés pour t’accompagner dans ce moment important de ta carrière et continuer de défendre l’équité de traitement entre les collègues :

 

  1. Si tu es « titulaire » et que tu as des questions par rapport à une éventuelle demande de mutation, inscris-toi à la réunion mutation du :

Jeudi 17 Mars 2022 de 17H30 à 19H

en envoyant un mail à  corpo-rouen@snepfsu.net

Format mixte : en présentiel (local du SNES, bd des Belges, Rouen) + en visio

Le lien de la visio Réunion mutations INTRA 2022

Sujet : Visio Réunion INTRA 2022
Heure : 17 mars 2022 04:00 PM Paris
Participer à la réunion Zoom
https://zoom.us/j/99311155066?pwd=UHJsYk55K1QweVRGKzRnVEkvSkc4dz09
ID de réunion : 993 1115 5066
Code secret : sV02aH

 

  1. STAGE MUTATION INTRA « FSTG » :

Jeudi 17 Mars 2022 de 16H00 à 17H30

Inscription par mail à  corpo-rouen@snepfsu.net

Format mixte : en présentiel (local du SNES, bd des Belges, Rouen) + en visio

Le lien de la visio Réunion mutations INTRA 2022

Sujet : Visio Réunion INTRA 2022
Heure : 17 mars 2022 04:00 PM Paris
Participer à la réunion Zoom
https://zoom.us/j/99311155066?pwd=UHJsYk55K1QweVRGKzRnVEkvSkc4dz09
ID de réunion : 993 1115 5066
Code secret : sV02aH

 

Ne reste pas seul(e) face à l’administration, contacte-nous, et mandate le SNEP-FSU pour le suivi de ton dossier.

 Si tu ne peux te libérer pour ce temps d’information, d’échange et d’accompagnement de ta démarche, n’hésite pas à contacter :

Faustine Coulombe 06 60 75 27 45 (responsable mutation)

 

CAPA recours avis rdv carrière

CAPA recours avis rdv carrière

 du vendredi 14 janvier :

De l’incohérence, et encore de l’incohérence

 

La CAPA recours des avis finaux de rendez vous de carrière s’est tenue le vendredi 14 janvier.

Les commissaires paritaires ont préparé durant plus de deux heures cette CAPA, étudiant tous les recours, les différents items, les avis littéraux des IPR et des chefs d’établissements ainsi que le commentaire du collègue quand il apparaissait. Nous attendions une écoute attentive à nos arguments.

Mais le DRH de l’académie, Mr Foselle est resté intraitable sur les avis, s’entêtant dans un argumentaire qui pour nous n’a pas de sens. En effet, une majorité d’avis Excellent n’aboutit pas à un avis final rectrice Excellent. L’avis Satisfaisant est très positif et les agents doivent s’en satisfaire.
Une telle attitude ne peut que décourager les collègues et entrainer rancœur et démotivation.

Le problème continue de résider dans les quotas de promotion. Quotas que le SNEP-FSU dénonce encore, puisqu’induisant des incompréhensions et des rancœurs vis-à-vis du système global. Rappelons ici qu’il n’existe pas de quota sur les avis. Il est non réglementaire et irrespectueux pour les collègues de limiter leur appréciation finale pour une simple question de quotas. Il est particulièrement inacceptable que l’Administration se fixe des quotas d’avis Très Satisfaisants ou Excellents alors que les textes ne l’y obligent pas.
L’évaluation de la valeur professionnelle d’un agent n’a pas à être influencée par des quotas qui deviennent une source d’injustice dans le résultat final du processus du rendez-vous de carrière. Pour le SNEP-FSU, aucun quota ne doit exister ni ne limiter les avis des évaluateurs tout au long du processus d’évaluation. Nous continuerons de lutter pour faire avancer nos convictions. 3 avis ont été modifiés de Très Satisfaisant à Excellent au 9ème échelon.

 

Stage égalité jeudi 7 avril 2022

 

Lycée Le Corbusier St Etienne Du Rouvray

9 h – 17h

La question de l’Egalité femmes-hommes n’a de cesse de se poser dans diverses composantes de notre métier :

des constats d’inégalité dans notre carrière : on constate des écarts entre les hommes et les femmes, dans l’évolution de carrière, dans la notation, dans la rémunération,…. En EPS, qu’en est-il ? Où en est-on ?

un plan d’action vers une égalité professionnelle, c’est possible ! A condition de s’y pencher un instant ! Salaires, carrières, mobilité, droits des personnels, violences sexuelles et sexistes : Quelles sont les avancées et ce qui reste à gagner ?

dans notre discipline, en EPS, quelles sont des pistes de réflexion pour aller vers davantage d’égalité dans nos pratiques professionnelles ?

– sur le terrain, avec nos élèves, comment prendre en compte l’égalité filles-garçons au sein de nos évaluations ? Repenser la construction des barèmes pourrait-elle permettre de passer de l’équité à l’égalité ? Un long chemin reste encore à parcourir.

Le stage sera animé par Lucile Grès (prof EPS à Limoges) et Sébastien Beorchia (professeur EPS à Caen)  tous 2 responsables nationaux du SNEP sur en partie les questions d’égalité.

Vous trouverez dans ce lien le déroulé précis du stage

Le stage se déroulera au Lycée Le Corbusier à St Etienne du Rouvray 76800.

Nous vous attendons nombreux-ses pour faire évoluer les pratiques !

Pour l’inscription une double démarche :