Retraites : première journée de mobilisation le 19 janvier

Communiqué intersyndical

La Première Ministre a annoncé ce 10 janvier 2023 le report de l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans avec une accélération de l’augmentation de la durée de cotisation.

Cette réforme va frapper de plein fouet l’ensemble des travailleurs et travailleuses, et plus particulièrement celles et ceux qui ont commencé à travailler tôt, les plus précaires, dont l’espérance de vie est inférieure au reste de la population, et celles et ceux dont la pénibilité des métiers n’est pas reconnue. Elle va aggraver la précarité de celles et ceux n’étant déjà plus en emploi avant leur retraite, et renforcer les inégalités femmes–hommes.

Le système de retraites par répartition n’est pas en danger, rien ne justifie une réforme aussi brutale. Attachées à un meilleur partage des richesses, les organisations syndicales n’ont eu de cesse pendant la concertation avec le Gouvernement de proposer d’autres solutions de financement, à commencer par l’amélioration de l’emploi des seniors. Jamais le gouvernement, arcbouté sur son projet, ne les a étudiées sérieusement.

Suite à l’annonce de la réforme gouvernementale, toutes les organisations syndicales se sont immédiatement réunies pour construire une réponse commune de mobilisation interprofessionnelle. Celle–ci prendra la forme d’une première journée de grèves et de manifestations le 19 janvier 2023.

Parce qu’elles représentent l’ensemble des travailleurs et des travailleuses, demandeurs et demandeuses d’emploi, et retraité.es, c’est cette date syndicale qui donne le départ d’une puissante mobilisation sur les retraites dans la durée.

Elles décident d’ores et déjà de se réunir le 19 janvier au soir avec les organisations de jeunesse pour prolonger le mouvement de mobilisation et convenir d’autres initiatives.

Les organisations syndicales appellent les salarié.es à se mobiliser fortement dès cette première journée dans l’ensemble du territoire et à participer aux différentes initiatives organisées en intersyndicale.

Paris le 10 janvier

Lieux de rassemblement :

Calvados :

  • Caen : 10h30 place St Pierre
  • Lisieux : 10h place François Mitterand
  • Vire : 17h30 porte horloge

Manche :

  • Coutances : 10h30 place St Nicolas
  • Saint Lô : 10h30 place de la Mairie
  • Granville : 10h30 place de la Mairie
  • Cherbourg : 10h30 place Napoléon
  • Avranches : 14h30 place de la mairie
  • Carentan : 14h place de la gare

Orne :

  • Alençon : 11h devant la mairie
  • Argentan : 11h au rond point du Carrefour Market
  • Flers : 17h place du Général de Gaulle
  • L’Aigle : 17h30 place de l’Europe

Eure :

  • Évreux : 14h Bel Ebat
Seine – Maritime :
  • Dieppe : 10h30 gare
  • Eu : 15h place Guillaume le Conquérant
  • Fécamp : 14h30 espace Henri Dunant
  • Le Havre : 10h Franklin (9H AG EDUC)
  • Lillebonne : 14h30 esplanade du théâtre romain
  • Rouen : 10h cours Clémenceau.

Pétition :

D’ici là, signez la pétition en ligne en suivant ce lien :

https://www.change.org/p/retraites-non-%C3%A0-cette-r%C3%A9forme-injuste-et-brutale

DNB : la FSU a obtenu des améliorations pour 2023.

Suite aux difficultés rencontrées lors des corrections du DNB en 2022, les militant·es de la FSU sont intervenus dès la publication des convocations des collègues pour remettre à plat en urgence son organisation. Afin d’anticiper la situation à venir, les représentant·es FSU sont intervenu·es et ont été les seul·es à poser une question diverse sur le sujet dès le premier CSA SD 2023 au DASEN de l’Orne, qui se trouve aussi être le président du DNB.

Ainsi, pour l’académie de Normandie, le déplacement des correcteurs et correctrices sera limité à 50 km à partir de leur domicile.

Nous avons également obtenu les améliorations suivantes :

  • 48 centres de corrections au lieu de 37 en 2022 sur toute l’académie ;
  • 1000 copies maximum par discipline et par centre de correction ;
  • 35 copies maximum par collègue en lettres modernes ;
  • 45 copies maximum par collègue pour les autres disciplines.

Des améliorations sont encore possibles. Les représentant·es FSU ne manqueront pas de les revendiquer dans et hors instances, comme le nombre de copies par collègue, le paiement effectif des corrections de copies de l’année dernière ou l’augmentation des enveloppes d’HSE pour les collègues qui tiennent les secrétariats d’examens.

Le 17 mars, journée unitaire et interprofessionnelle de mobilisation pour l’augmentation des salaires !

Les quelques mesures que le gouvernement déclenche, opportunément à quelques semaines d’une élection politique importante ou celles qu’il a prises sous la contrainte de la crise sanitaire (comme le Ségur de la Santé par exemple), ne peuvent faire oublier son vrai bilan.
Rien n’a été fait pour conforter, augmenter, revaloriser les rémunérations des agent-es de la fonction publique.
Si ces mesures de dernière minute sont bienvenues tant le pouvoir d’achat de toutes et tous est impacté par l’inflation galopante, elles n’effacent pas la réalité d’une politique orientée contre les rémunérations des personnels de la fonction publique.

 

Calvados Manche Orne
  • 10h30 place saint Pierre à CAEN
  • Cherbourg : 10h30 place de la Mairie 
  • Saint-Lô : 10h30 place de la Mairie 
  • Villedieu : 10h30 Mairie
  • 11h30 devant la préfecture d’ALENCON

[pdf-embedder url= »https://snepfsu-normandie.net/wp-content/uploads/2022/03/laugmentation-generale-des-remunerations.pdf »]

 

Toutes et tous dans l’action : En grève jeudi 13 janvier

Depuis la rentrée de janvier, l’épuisement et l’exaspération de toute la communauté éducative atteignent un niveau inédit. La responsabilité du ministre et du
gouvernement dans cette situation chaotique est totale du fait de changements de pied incessants, de protocoles intenables et d’absence de moyens donnés pour assurer le fonctionnement de l’Education.

Malgré une amplification jamais vue de l’épidémie, l’École ne bénéficie pas de l’organisation protectrice qui serait nécessaire pour assurer la sécurité des élèves, des personnels et de leurs familles. Les retours au compte-gouttes des élèves générant des aménagements pédagogiques rendent difficiles les conditions d’apprentissage. Pénurie des remplacements, gestion des tests et des absences des élèves dégradent fortement les conditions de travail.

Pourtant les écoles, collèges et lycées doivent avoir les moyens de fonctionner en toute sécurité.

C’est maintenant qu’il faut agir pour obtenir un plan d’urgence pour l’éducation et défendre les conditions d’accueil et de travail de tous les usagers !

Lieux et horaires de manifestations : 

Calvados (14) Manche (50) Orne (61)
  • Caen, place du Théatre à 10 heures
  • Cherbourg, place de la mairie à 10h30 
  • Saint-Lô, devant la mairie à 10h30
  • Alençon, Place BONNET (devant la DSDEN) à 11heures

Stages AGIR dans les établissements : 21 janvier 2022

Nous savons qu’il est essentiel de mieux comprendre les instances et de pouvoir agir au sein de son établissement. Aussi à l’approche des Conseils d’Administration sur la DHG et la préparation de rentrée, nous vous proposons un stage sur la thématique suivante :

« préparation de rentrée : comment agir au conseil d’administration »

De nombreux points seront abordés : la DHG, le tableau de répartition des moyens, les HSA, HSE, BMP, la commission permanente…etc.

Le stage est ouvert aux collègues des autres disciplines alors n’hésitez pas à faire passer le message !

Calvados (14) Manche (50) Orne (61)

Maison des Syndicats

Salle 01 (RDC) au 9 rue du Colonel Remy,
14000 CAEN

De 9h à 16h

Autorisation d’absence : 

 

ANNULATION : 

vu le nombre d’inscrits, le stage AGIR de la Manche est annulé, vous pouvez vous rapprocher du Calvados pour assister au stage en VISIO.

 

Pour obtenir les liens pour la visio conférence, envoyez un mail à s2-14@snepfsu.net

 

 

Vous pouvez vous greffer sur le stage du Calvados.

Il est également possible de s’inscrire sur le stage du SNES, organisé à Caen le 14 janvier 2022 ici 

Pour participer à ce stage, inscrivez vous ci dessous et déposez votre autorisation d’absence auprès de votre chef d’établissement avant le 20 décembre 2021

Veuillez sélectionner un formulaire valide

Retour sur les enquêtes de rentrée de l’académie

Cette année encore, tous les établissements de l’académie ont été destinataires d’une enquête sur les conditions de rentrée des enseignants d’EPS.

Les informations demandées nous permettent d’avoir un regard plus objectif sur l’ensemble des collèges et des lycées bas-normands, d’identifier les principales problématiques auxquels les collègues d’EPS sont confrontés.

Pour les collèges, les collègues nous ont fait remonter :

  • 46 réponses pour le 14 (sur 59, soit 78%)
  • 13 réponses pour le 61 (sur 37, soit 35%)
  • 11 réponses pour le 50 (sur 52, soit 21%)

Pour les lycées et les LP, nous avons eu 17 réponses pour l’académie (pour 57, soit 30%).

Voici les principaux points qui ressortent de vos retours : (à rapporter aux taux de réponse par département)

  • L’enseignement de la natation qui est une priorité nationale, concerne en grande majorité le niveau 6ème

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  • Le problème de cet enseignement « prioritaire » se situe dans la qualité et l’égalité sur tout le territoire des conditions proposées aux élèves. Les retours montrent que pour plus de la moitié des classes, il n’y a pas de professeur supplémentaire pour dédoubler faute de moyens dédiés.

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Quant à la communication de notre ministre sur la « nation sportive » les réponses des collègues concernant le financement des sections sportives scolaires, ainsi que les freins liées à la pratique à l’association sportive sont des éléments d’analyse qui nous semblent pertinents.

  • Nous constatons qu’en ce qui concerne les sections sportives scolaires, la plupart des établissements font l’effort de les financer en HP ce qui favorise leur développement et leur pérennité dans le temps. Soyons vigilent et revendicatif auprès des DSDEN pour que cela perdure dans les années futures.

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  • En revanche, les enquête de lycée révèlent les conséquences négatives de la réforme du lycée sur les possibilités de pratique sportive données aux élèves le mercredi après-midi au sein de leur AS, et ce essentiellement en LP/SEP.
LEGT LP / SEP
  • De plus, le protocole sanitaire de niveau jaune a conduit les équipes EPS à faire évoluer leurs programmations d’APSA. L’absence de définition claire sur la notion de « sports de contact » a eu pour conséquence dans beaucoup d’établissements, la suppression ou le décalage dans le temps des sports collectifs en plus des sports de combat.

  • Enfin, nous tenions à attirer votre attention sur les IMP coordo des APSA : elles sont fléchées dans la DHG et de droit si vous remplissez les conditions suivantes :

    • « 1 IMP est attribuée dès lors qu’exercent dans l’établissement au moins 3 enseignants d’EPS, assurant au moins 50h d’EPS » (taux annuel 1250€)

    • « 2 IMP sont attribuées si l’établissement compte plus de 4 enseignants d’EPS » (taux annuel 2500€)

Semaine de l’EPS : gros impact médiatique, une implication de la profession plus mitigée

NOVEMBRE 2021

Pour une jeunesse plus sportive : 4 h d’EPS pour tous et toutes !

Les constats d’une sédentarité en progression par suite de la période COVID et d’une baisse des capacités physiques des jeunes ont rendu nécessaire le renforcement de la pratique physique et sportive en France. Citons seulement deux chiffres : les enfants ont perdu 25% de leurs capacités cardio-vasculaires en quelques décennies. 75% des filles dont les parents n’ont aucun diplôme et des faibles revenus ne font pas de sport.

Ce renforcement doit permettre de répondre à des enjeux de santé, d’émancipation, de développement culturel et de vivre-ensemble.

À cet égard, l’École joue un rôle fondamental car elle permet à tous les élèves sans distinction, via l’EPS obligatoire et le sport scolaire, de pratiquer et d’apprendre dans les activités physiques sportives et artistiques.

C’est aussi à l’école que des habitus de pratique se construisent pour l’avenir.

Nous affirmons qu’il est possible d’aller vers une jeunesse plus sportive en renforçant la place de l’EPS au sein du système éducatif. C’est à l’opposé des décisions politiques qui n’ont fait qu’affaiblir la place de cet enseignement ces dernières années.

Le SNEP-FSU propose l’augmentation des horaires de l’EPS obligatoire à 4 heures durant toute la scolarité. C’est un levier déterminant pour permettre le développement d’une culture sportive dans notre société et de lutter contre les dangers de la sédentarité.

Cette augmentation horaire doit s’accompagner d’une revalorisation de l’EPS au sein d’une École rénovée (programmes, équipements, évaluation, recrutements…).

Le SNEP-FSU continuera d’agir avec les enseignants, les acteurs de l’école, les parents d’élèves et le sportifs.ves pour le développement du sport pour tous et toutes.

  • Pour le Calvados :

Une manifestation sportive a été proposée, vendredi 19 novembre 2021, pendant 4h, de 16h à 20h au stade Hélitas à Caen.

Nous avons proposé aux différents participants de venir courir, marcher, rouler pendant 4h.

Une trentaine de personnes ont répondu présents. La presse, un élu, des étudiants ainsi que différents militants ou sympathisants du Snepfsu 14  se sont déplacés.

Cette initiative a été l’occasion d’échanger, discuter au sujet de la proposition des 4h d’EPS durant toute la scolarité de nos élèves. Autour d’un vin chaud, autocollants et flyers ont été distribué.

Camille Léger et Pierrik Gaillard, pour le Snepfsu 14

  • Pour la manche :

Débat organisé à Querqueville

Dans le cadre de l’évènement “la semaine de l’EPS”, la section départementale du SNEP-FSU de la Manche a organisé un débat sur la thématique :

L’éducation physique et sportive a-t-elle la place qu’elle mérite dans notre système éducatif ?”

Une Vingtaine de personnes se sont retrouvées le vendredi soir 19 novembre, salle de l’Acre à Querqueville pour discuter et débattre autour d’une animatrice de choix, Claire Pontais, anciennement formatrice à l’INSPE de Saint Lô.

Parmi les participants, étaient présents des professeurs d’EPS du nord cotentin, des parents d’élèves dont deux représentants de la FCPE, un journaliste de la Presse de la Manche, une conseillère départementale mais aussi une infirmière du service pédiatrie du centre hospitalier public du cotentin.

Dès le début de la table ronde, Claire Pontais a donné le ton : 

“En 30 ans les enfants ont perdu 25% de leur capacité cardiovasculaire”

“L’OMS préconise de pratiquer 1h d’activité physique par jour; 70% des enfants ne respectent pas ces préconisations”.

Au cours de la soirée, de nombreux thèmes ont été abordés : santé, mixité, égalité, notation, évaluation, savoir nager, accès aux piscines et classes surchargées.

En fin de débat, tous les participants se sont accordés sur un point, il faut augmenter le temps de pratique physique de nos jeunes !

Un grand merci à Claire Pontais et à tous les participants !

Continuons le combat et exigeons 4h d’EPS tout au long de la scolarité !

  • Pour l’Orne :

Une manifestation sportive a été proposée, mardi 16 novembre 2021, pendant 4h, de 16h à 20h au stade Foisy de L’Aigle. Divers ateliers athlétiques, accessibles et ouverts à tous, étaient proposés : parcours de coordination et de course de haies, lancer de Vortex, concours de corde à sauter, biathlon athlétique, course de

durée en testant différentes allures.

Une trentaine de jeunes, de 4 à 15ans sont venus, accompagnés de leurs parents, et ont pu partager ce moment de convivialité ensemble, découvrir de nouvelles formes d’activités et se mesurer en famille, chacun en fonction de ses possibilités. Les visages étaient radieux malgré la nuit tombée, les participants très motivés. Une petite boisson chaude avec gâteaux a permis de clôturer cette manifestation revendiquant les 4h d’EPS pour toutes et tous, tout au long de la scolarité.

[Académie] Bilan Blanquer pour les collèges !

Comme le dit si bien la publicité du ministère de la santé : 

« On peut débattre de tout,
sauf des chiffres »

Alors, le SNEP FSU Caen les a pris au mot et s’est attaché, avec les chiffres de la DSDEN, de faire un bilan sur l’emploi dans les collèges du département entre les constats de rentrée 2017 et les prévisions de rentrée 2021.

Pour la Manche :

Le résultat est sans appel : il manque, pour retrouver le taux d’encadrement de 2017, l’équivalent de 49 postes toutes disciplines confondues, et 5 en EPS.

Quant à l’Orne, on se retrouve avec 13 postes en moins, dont 2 en EPS !

Edit du 08/10/2021 : les chiffres précédents prenaient en compte les ULIS et les SEGPA, les nouveaux chiffres sont donc de -35 postes en ETP toutes disciplines, dont 4 en EPS.

Ce qui impacte les conditions d’enseignement, d’apprentissage, mais aussi la mobilité…

Partagez les infos sur vos bahuts, sur vos districts !

Le 23 septembre : Faisons entendre notre voix

« Une revalorisation historique » selon Jean-Michel Blanquer, l’Éducation nationale « choyée » selon Jean Castex…

Derrière les grandes déclarations, la réalité est toute autre sur les questions de salaires, moyens et métiers…

L’intersyndicale FSU, CGT, FO, Sud Éducation appelle à une rentrée dans l’action : AG, heures d’informations syndicales, actions locales et grève le jeudi 23 septembre.

 

Salaires : rien d’historique !

Les annonces de septembre 2021 confirment que la revalorisation promise par Jean-Michel Blanquer est très loin de prendre la mesure du déclassement salarial subi par nos profession.

Pas de dégel du point d’indice, prime d’attractivité qui ne répond pas aux enjeux de revalorisation, nouvelle grille pour les AESH insuffisante et rien pour les vies scolaires.

 

Une rentrée sans moyens pour le 2d degré !

Solde des suppressions / créations dans l’Académie de Normandie – périmètre de Caen = -92 !

1883 suppressions d’emplois alors que les effectifs augmentent dans les collèges et les lycées, et depuis 2018, les budgets des gouvernements Macron ont acté la suppression de 7 490 emplois alors que les effectifs augmentaient de 63 662 élèves. 7490 suppressions d’emplois, c’est l’équivalent de 166 collèges rayés de la carte ! Pour simplement garder le taux d’encadrement de 2017, il aurait fallu créer 7 564 emplois.

Les conséquences sont visibles : augmentation des effectifs dans les classes, réduction de l’offre de formation etc…

Pour faire face aux enjeux pédagogiques de cette rentrée sous Covid et après une année 2020-2021 très largement perturbée par l’épidémie, le ministre ne propose que deux solutions : Devoirs faits en collège et des heures supplémentaires (HSE) en lycée. Cela ne répond en rien aux besoins de cette rentrée !

 

Pour le Calvados :

- à Caen, à 10h30 place du théâtre

Pour l’Orne :

- à Alençon, à 10h30 place Bonet, devant la DSDEN

Pour la Manche :

- à Cherbourg à 10h30 place de la mairie
- à Saint-Lô à 10h30 devant la DSDEN
- à Avranches à 10h30 place de la mairie

Tract Calvados Tract Orne Tract Manche